Changer de voie, apprendre un nouveau métier, faire enfin ce qui vous fait vibrer… Vous en rêvez ? Mais voilà : vous êtes en CDI, avec une certaine stabilité, peut-être des responsabilités, un salaire qui tombe chaque mois. Alors forcément, l’idée d’une 

reconversion professionnelle quand on est en CDI

 peut sembler risquée, voire irréaliste. Et pourtant, des milliers de salariés en contrat à durée indéterminée osent franchir le pas chaque année. Mieux encore, être en CDI est un 

 pour changer de métier sereinement, à condition de bien s’y prendre. Alors, pourquoi se reconvertir ? Quelles sont les options possibles ? Comment financer une formation sans perdre son salaire ? Et surtout, comment éviter les pièges classiques ? Hife vous guide étape par étape !

Pourquoi envisager une reconversion professionnelle quand on est en CDI ?

Il y a mille raisons de vouloir changer de métier. Parfois, c’est une envie de nouveauté ou un projet longtemps gardé dans un coin de la tête. D’autres fois, c’est la lassitude, le mal-être ou l’envie de retrouver du sens dans son quotidien. Ce qui revient souvent chez les salariés en CDI, c’est ce mélange de 

. Ce sentiment d’avoir « coché toutes les cases », mais de ne plus avancer.

La reconversion peut alors répondre à plusieurs objectifs :

●      Aligner votre travail avec vos valeurs.

●      Améliorer votre qualité de vie.

●      Quitter un métier usant ou un secteur en déclin.

●      Réaliser un rêve (ouvrir un restaurant, devenir coach, travailler dans l’artisanat…).

●      Retrouver du plaisir au travail.

Bonne nouvelle : être en CDI vous donne un 

. Vous avez un revenu stable, des droits à la formation, du temps pour réfléchir… Autant d’éléments qui peuvent vous permettre de préparer votre changement sereinement, sans tout plaquer sur un coup de tête !

Comment se reconvertir professionnellement en tant que salarié ?

La reconversion professionnelle est aujourd’hui un 

. Que vous souhaitiez monter en compétences, évoluer au sein de votre entreprise, ou changer complètement de secteur, il existe des

, peu importe votre âge ou votre parcours. Ces dispositifs vous permettent de vous former à votre rythme, pendant ou en dehors de vos heures de travail, tout en respectant vos contraintes personnelles.

Se reconvertir durant le temps de travail

Si vous êtes en CDI, rien ne vous empêche d’envisager une reconversion pendant vos heures de travail. Au contraire, plusieurs dispositifs existent pour vous aider à franchir le cap sans perdre en sécurité ni en salaire. Si vous avez envie d’évoluer dans votre entreprise actuelle, parlez-en à votre employeur : un 

 peut être mis en place pour vous permettre de monter en compétences, voire de changer de poste.

, qui permet de se former à un nouveau métier tout en restant salarié. C’est une solution idéale si vous visez une évolution ou une reconversion en douceur. La formation se fait en alternance, avec un financement assuré par l’OPCO de votre entreprise. Pour en savoir plus, un petit détour par le service RH peut faire toute la différence.

Si vous visez une reconversion plus ambitieuse, le 

Projet de Transition Professionnelle (PTP)

 est fait pour vous. Ce dispositif, qui a remplacé le CIF, vous permet de suivre une formation certifiante tout en conservant votre contrat et votre salaire (jusqu’à 100 % de votre rémunération selon votre niveau). Il est géré par les associations régionales 

, et vous offre une transition en toute sécurité, sans avoir à claquer la porte du jour au lendemain.

Se reconvertir sur ses congés ou son temps libre

Quand il n’est pas possible de se former pendant le temps de travail, pas de panique : vous pouvez utiliser vos 

. C’est aussi une bonne façon de garder votre projet un peu secret, sans forcément en parler tout de suite à votre employeur.

Il existe plein de formules flexibles qui s’adaptent à votre rythme : cours du soir, formations en ligne, MOOCs gratuits… De quoi avancer sans chambouler votre planning ! Et si vous préférez un accompagnement plus cadré, le 

 (PTP) reste une super option pour suivre une formation tout en continuant de toucher votre salaire, grâce à un congé formation pendant vos heures de travail.

Le chômage est aussi l’occasion idéale pour

! Les demandeurs d’emploi peuvent profiter de formations financées par Pôle Emploi, ou encore de la Préparation Opérationnelle à l’Emploi Individuelle (POE).

 de formation nécessaires pour décrocher un poste en entreprise. Pour en bénéficier, la formation, qui dure au maximum 400 heures, doit vous permettre d’acquérir les compétences indispensables pour le job visé.

Les étapes d’une reconversion professionnelle quand on est en CDI

Vous êtes en CDI, mais votre job ne vous fait plus vibrer ? Vous avez envie de changer de cap, 

 ni risquer votre stabilité financière ? Avec un peu d’organisation et de méthode, la 

, c’est possible ! Découvrez les étapes clés pour réussir votre virage pro sans stress et en toute sécurité.

#1 Faire le point avant de changer de métier

Avant de vous lancer tête baissée dans une nouvelle aventure professionnelle, prenez le temps de vous poser les bonnes questions. Pourquoi voulez-vous changer de métier ? Quelles compétences pouvez-vous réutiliser dans votre futur job ? Êtes-vous prêt à suivre une formation, à déménager, ou à accepter une baisse temporaire de salaire ?

 est souvent la meilleure manière de faire le point. Il vous aide à identifier vos forces, vos envies, et les métiers qui pourraient vraiment vous correspondre. Cerise sur le gâteau : ce bilan est 

Pour aller encore plus loin, vous pouvez aussi faire appel à un 

conseiller en évolution professionnelle 

(CEP). Ce service, gratuit et impartial, vous guide pour structurer votre projet et vous oriente vers les dispositifs adaptés (Transitions Pro, Apec, Cap Emploi…) afin de transformer vos envies en actions concrètes.

#2 Construire un projet de reconversion réaliste

Une fois votre besoin de changement clarifié, il est temps de passer à la construction d’un plan solide. Objectif : 

 (formation courte, bénévolat, micro-projet…).

L’idée est simple : ne partez pas tête baissée. Une reconversion réussie commence par une phase d’exploration sérieuse. Cela vous permet de confirmer vos choix, de lever les doutes, ou d’éviter de grosses erreurs.

#3 Choisir le bon dispositif de reconversion en CDI

Selon votre situation, plusieurs aides peuvent financer votre formation sans que vous ayez à démissionner :

 (PTP), un congé rémunéré pour suivre une formation certifiante, avec maintien de salaire sous conditions.

, qui permet de financer une formation ou un bilan de compétences, avec une grande flexibilité, notamment si la formation est hors temps de travail.

 (Pro-A), une formation en alternance pour évoluer ou se reconvertir au sein de votre entreprise.

Si votre reconversion vous pousse à quitter votre poste, vous pouvez envisager une 

. Cette solution vous permet de quitter l’entreprise à l’amiable, tout en accédant à l’

C’est une option intéressante si vous avez besoin de temps pour vous former ou chercher un emploi dans un autre secteur, sans pression financière immédiate. Attention toutefois : cette démarche nécessite l’accord de votre employeur. Il est donc essentiel d’ouvrir le dialogue et de présenter votre projet avec sérieux.

#5 Suivre sa formation en toute sérénité

Une fois le financement en poche, c’est le moment de

 ! Selon votre projet, cela peut impliquer de retourner sur les bancs de l’école, d’apprendre un nouveau métier ou de vous spécialiser.

Pour mettre toutes les chances de votre côté :

●      Organisez votre emploi du temps, surtout si vous combinez formation et activité partielle.

●      Entourez-vous de personnes qui vous soutiennent (amis, collègues, formateurs…).

●      Gardez votre objectif en tête pour rester motivé.

C’est aussi le bon moment pour commencer à 

vous faire connaître dans votre futur secteur

 : inscrivez-vous à des événements, mettez à jour votre profil LinkedIn, participez à des forums ou des groupes professionnels… Les opportunités ne manquent pas !

#6 Trouver un emploi après votre reconversion

Une fois la formation terminée, place à la 

 ! Plusieurs pistes s’offrent à vous :

 si votre entreprise dispose d’un poste adapté.

 (freelance, micro-entrepreneur, artisan…).

le temps de stabiliser votre nouvelle situation.

L’essentiel est de bien valoriser votre parcours de reconversion dans vos candidatures. Mettez en avant votre motivation, vos efforts pour acquérir de nouvelles compétences, et votre capacité d’adaptation. Aujourd’hui, les recruteurs considèrent souvent la reconversion comme un vrai signe de maturité et d’engagement.

Les pièges à éviter dans une reconversion en CDI

Changer de voie professionnelle est un projet ambitieux et motivant. Mais pour que la transition se passe bien, mieux vaut éviter certains 

. Voici les erreurs les plus fréquentes et comment les contourner intelligemment !

Quitter un emploi sans savoir où aller, c’est un peu comme partir en road trip sans GPS ni carte. La reconversion ne s’improvise pas : elle se construit. Un projet mal défini vous expose à une perte de repères, à des difficultés financières, à une remise en question rapide... Avant de poser votre démission ou de signer une rupture conventionnelle, assurez-vous d’avoir une 

, un objectif précis, et un minimum d’éléments validés  (formation ciblée, métier visé, conditions de rémunération, etc.).

Certaines idées font rêver sur le papier, mais déçoivent dans la réalité du terrain. C’est pourquoi il est essentiel de tester avant de se lancer. Que ce soit via une formation courte, un stage d’observation, du bénévolat ou une mission freelance, prenez le temps de 

. Cela vous permettra de valider (ou pas) votre intuition, d’ajuster votre plan si nécessaire, et de partir sur de bonnes bases.

Une reconversion est un chemin complexe, qui mêle émotionnel, administratif et technique. Vouloir tout gérer seul peut vite devenir une source de stress. Or, des outils existent pour vous aider : bilan de compétences, conseil en évolution professionnelle (CEP), accompagnement RH, ou même coaching individuel. Ces dispositifs sont souvent 

, et peuvent vous faire gagner un temps précieux. Ils sont là pour structurer votre démarche, identifier vos forces, et débloquer certaines étapes.

Sous-estimer le temps et l’énergie nécessaires

Une reconversion n’est pas une parenthèse de deux semaines ! En fonction de votre projet, il faut souvent 

, voire années, pour aboutir à une véritable transformation. Il y a le temps de réflexion, de formation, de transition… Sans compter les éventuelles 

 (organisation familiale, budget, mobilité). Se préparer à cette durée est essentiel pour ne pas perdre sa motivation ou se décourager à mi-parcours.

C’est une erreur fréquente : attendre le dernier moment pour informer son employeur de son projet. Pourtant, si vous comptez utiliser un dispositif comme le Projet de Transition Professionnelle (PTP), son 

 pour organiser votre absence. Dans certains cas, l’entreprise peut même vous aider à évoluer en interne ou vous accompagner dans votre reconversion. Un 

x peut ouvrir plus de portes qu’on ne le pense. Ne faites pas de la reconversion un sujet tabou ! Communiquer au bon moment et avec les bons mots peut faire toute la différence.

Comment faire une photo professionnelle réussie ?

Reconversion professionnelle quand on est en CDI : le guide pour réussir

Reconversion professionnelle quand on est en CDI 

How to take a good professional photo?

À l’heure où chaque litre de carburant coûte un bras et où la planète tire la sonnette d’alarme, il est grand temps de

. Et pas besoin d’acheter une voiture électrique dernier cri pour faire bouger les choses ! Chez Hife, nous sommes convaincus qu’une mobilité plus durable passe par des 

 à mettre en place. Dans cet article, nous vous expliquons en quoi consiste l’éco-conduite, comment la mettre en œuvre au quotidien, et pourquoi il peut être utile de suivre une formation dédiée.

L’éco-conduite est une méthode de conduite fondée sur l’anticipation, la modération et la fluidité. Elle consiste à adapter votre manière de conduire pour réduire votre consommation de carburant, vos émissions de gaz à effet de serre et l’usure de votre véhicule.

Cette approche a vu le jour dans les années 1990, initialement promue dans un but environnemental. Aujourd’hui, ses bénéfices sont reconnus bien au-delà de la sphère écologique ! Elle permet aussi de faire des économies, de renforcer la sécurité routière et d’améliorer le confort de conduite.

Concrètement, l’éco-conduite repose sur 

●      Éviter les accélérations et les freinages brusques.

●      Maintenir une vitesse stable.

●      Utiliser de manière optimale les rapports de vitesse.

●      Anticiper les conditions de circulation.

Il ne s’agit pas de rouler lentement, mais intelligemment. En adoptant ces réflexes, vous pouvez économiser 

, soit plusieurs centaines d’euros par an selon votre usage. Rien que ça, oui ! En parallèle, vous contribuez à réduire vos émissions de CO₂, ainsi que les particules fines et polluants liés à la combustion.

L’éco-conduite ne demande pas de tout changer du jour au lendemain. Ce sont souvent les petits gestes qui comptent vraiment. On vous dit tout !

#1 Adopter une conduite souple et anticipative

. En observant ce qui vous entoure (feu rouge au loin, voiture qui freine, piéton hésitant…), vous évitez les coups de frein à la dernière seconde et les accélérations inutiles. Tout ce qui peut faire grimper la facture à la pompe !

Que vous circuliez en milieu urbain ou sur autoroute, garder une

est l’un des gestes les plus efficaces pour optimiser votre consommation et rouler de manière plus responsable.

#2 Passer les rapports de vitesse au bon moment

 pour changer de vitesse fait toute la différence. Notre conseil : passer les rapports entre 1 800 et 2 500 tours/minute. C’est la zone idéale pour préserver votre moteur et votre budget carburant. Trop tard, et le moteur s’emballe inutilement. Trop tôt, et vous risquez de le faire forcer… L’objectif ? Trouver le juste milieu pour 

Les véhicules récents sont souvent équipés d’un

, situé directement sur le tableau de bord. Il vous signale le meilleur moment pour passer à la vitesse supérieure. Un allié discret mais précieux, surtout si vous débutez dans la pratique de l’éco-conduite.

Une vitesse qui monte et descend sans arrêt est le meilleur moyen de faire grimper la consommation. Chaque variation brusque sollicite le moteur, augmente la dépense de carburant et rend la conduite plus fatigante.

, surtout sur route ou autoroute, optimise le rendement du moteur. Le 

est un excellent allié pour les longs trajets. Il limite les accélérations inutiles, aide à respecter les limitations et rend la conduite plus détendue.

#4 Couper le moteur lors des arrêts prolongés

Un moteur qui tourne à l’arrêt continue de consommer du carburant… pour rien ! Si vous êtes immobilisé plus de 30 secondes, à un passage à niveau, dans un bouchon ou en attendant quelqu’un, coupez le moteur.

De nombreux véhicules récents intègrent désormais un 

, qui stoppe automatiquement le moteur lorsque le véhicule est à l’arrêt. Pour les modèles plus anciens, ce geste peut être réalisé manuellement, sans risque pour le moteur ni pour le redémarrage.

Plus votre véhicule est chargé, plus il consomme. Un excès de poids oblige le moteur à fournir davantage d’efforts, ce qui se traduit par une surconsommation de carburant, en particulier sur les trajets urbains et vallonnés. Un 

 peut par exemple augmenter la consommation 

Pour limiter cet impact, ne transportez que l’essentiel :

●      Videz régulièrement votre coffre.

●      Retirez les objets lourds non utilisés.

●      Démontez les barres de toit ou coffres de toit lorsqu’ils ne servent pas.

En plus de faire des économies, vous améliorez les performances de votre véhicule et contribuez à son bon entretien.

#6 Vérifier la pression des pneus régulièrement

Des pneus bien gonflés, c’est bon pour votre sécurité et pour votre consommation. Quand la pression est trop basse, les pneus s’écrasent légèrement, augmentent la résistance au roulement et forcent le moteur à compenser. Résultat : plus de carburant utilisé, des pneus qui s’usent trop vite, et une tenue de route moins fiable.

Prenez donc l’habitude de vérifier la pression

. Les bonnes valeurs sont indiquées sur la portière ou dans le carnet d’entretien. Il suffit de s’y fier ! Et n’oubliez pas d’ajuster la pression si vous êtes chargé ou si vous partez en vacances.

#7 Utiliser la climatisation de manière raisonnée

Indispensable en cas de forte chaleur, la climatisation n’en reste pas moins énergivore. En ville, son utilisation peut entraîner une 

, ce qui pèse rapidement sur le budget carburant. Pour limiter son impact, mieux vaut l’utiliser avec 

 et seulement lorsque c’est vraiment nécessaire.

. Quelques fenêtres entrouvertes suffisent souvent à rafraîchir l’habitacle ! Sur autoroute en revanche, gardez les vitres fermées : l’ouverture augmente la résistance à l’air, et donc la consommation. L’idéal ? Une clim bien dosée, en mode « rafraîchir sans exagérer ». Votre moteur et votre plein vous remercieront.

#8 Entretenir régulièrement son véhicule

, c’est un moteur qui fonctionne efficacement et consomme moins. Vidange, filtres à air et à carburant, bougies, mise à jour du système moteur… Chaque opération permet d’optimiser les performances et d’éviter une surconsommation silencieuse.

 permet aussi de limiter les émissions polluantes, d’éviter les pannes inattendues (et souvent coûteuses), et de faire durer votre véhicule plus longtemps. Et si un jour vous décidez de le revendre, un 

 bien rempli jouera clairement en votre faveur.

#9 Privilégier les modes de transport alternatifs pour les petits trajets

Les trajets de moins de 2 kilomètres sont parmi les plus polluants et les moins rentables en voiture. Sur ces courtes distances, le moteur n’a pas le temps d’atteindre sa température idéale de fonctionnement. Il consomme alors plus de carburant et émet davantage de pollution qu’au cours d’un trajet plus long.

Pour ces déplacements du quotidien, mieux vaut privilégier la 

. Ces alternatives sont non seulement plus respectueuses de l’environnement, mais elles vous permettent aussi d’intégrer un peu d’exercice dans votre journée, sans même y penser. Et en prime, vous évitez les embouteillages, la recherche de stationnement, et réduisez l’usure de votre véhicule. C’est tout bénéf’ !

Prendre quelques minutes pour préparer son trajet, c’est un réflexe simple qui peut faire toute la différence. En consultant l’

, vous réduisez les détours inutiles, le temps passé au volant et la consommation qui va avec.

, notamment pour les trajets réguliers. En partageant la route, vous réduisez votre empreinte carbone, et limitez les frais de carburant et de stationnement  En qu’on se le dise, vous rendez le trajet un peu plus convivial.

Activité écologique : renforcer autrement la cohésion d’équipe

Réaliser une formation d’éco-conduite

Envie d’aller plus loin ? Il est tout à fait possible de suivre une

 formation spécialisée en éco-conduite

. Ouvertes aux particuliers comme aux professionnels, ces sessions permettent de faire le point sur ses habitudes, de comprendre ce qui fait vraiment consommer et d’apprendre à corriger le tir avec des conseils sur mesure.

Voici quelques pistes pour suivre une formation d’éco-conduite selon votre profil :

 : auto-écoles, associations locales, ou plateformes spécialisées comme

 : centres de formation agréés (ECF, CER, AFTRAL), organismes RSE ou gestionnaires de flottes d’entreprise.

La plupart combine une partie théorique (rappels des grands principes, lecture des indicateurs de consommation, enjeux environnementaux) et une mise en pratique sur route. Vous commencez par un trajet « comme d’habitude », puis vous repartez après coaching avec une conduite optimisée. Le tout encadré par des experts formés à la pédagogie de l’éco-conduite.

Selon l’ADEME, une telle formation peut faire baisser votre consommation

. Un gain loin d’être négligeable sur une année ! Et bonne nouvelle : ces formations sont souvent finançables dans le cadre de la formation professionnelle (CPF, OPCO…).

Vous l’aurez compris, l’éco-conduite n’est pas qu’un ensemble de bonnes pratiques. C’est une démarche citoyenne, concrète et positive. Côté mobilité, 

 propose une approche complémentaire : résider dans un habitat partagé optimisé pour les jeunes actifs, proche des transports et des 

. En adoptant un lifestyle pensé pour limiter les déplacements motorisés, vous encouragez une mobilité plus douce et durable au quotidien !

Éco-conduite : conseils pratiques pour rouler plus écolo

éco conduite 

Parmi les régions chouchoutes des Français, la ville de Bordeaux coche toutes les cases. Mais 

 : la magie ne s’arrête pas aux boulevards bordelais ! La région possède une incroyable diversité de paysages et d’expériences. Vous vous demandez 

 ? Entre plages, vignobles, villages, lacs et sites culturels à gogo, impossible de tourner en rond ! Que vous voyagiez en couple, entre amis ou en famille, voici une sélection de 

incontournables à ne pas manquer autour de la capitale girondine.

#1 La Dune du Pilat : une ascension en journée entre océan et forêt

, la Dune du Pilat impressionne autant qu’elle fascine. Incontournable du littoral aquitain, elle se gravit à pied ou par les escaliers installés en saison. Une fois au sommet, le panorama est saisissant : l’océan Atlantique d’un côté, l’immense forêt landaise de l’autre, et au milieu, une crête de sable modelée par les vents au fil des années.

Si la majorité des visiteurs se contentent du sommet, notamment à l’heure dorée du 

, les plus curieux peuvent prolonger l’expérience en explorant les sentiers de randonnée qui longent la dune.

Et pourquoi ne pas prévoir une pause baignade ? La plage au pied de la dune offre un cadre exceptionnel pour se rafraîchir en pleine nature. Pour ceux qui souhaitent en savoir plus, des 

permettent de découvrir les coulisses de ce site unique : son histoire géologique, les enjeux de sa préservation et la richesse de sa biodiversité.

#2 Saint-Émilion : une visite au coeur des vignes

Classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, Saint-Émilion plaît autant par son 

. Perchée sur les coteaux, cette cité médiévale offre un décor unique où il fait bon flâner. Laissez-vous porter par les 

, parfois escarpées, qui serpentent entre la ville haute et la ville basse, bordées de bâtisses en pierre blonde, de petites échoppes artisanales et de points de vue imprenables sur les vignes alentour.

C’est aussi un paradis pour les amateurs de bonne chère et de grands vins. Les tables mettent à l’honneur les produits du Sud-Ouest, souvent accompagnés d’une belle sélection de crus de la région. Le vignoble de Saint-Émilion jouit d’une renommée internationale, et de nombreux châteaux accueillent les visiteurs pour une immersion complète. Au programme : découverte du domaine, explication des méthodes de vinification, visite des caves, le tout ponctué, bien sûr, par une 

Et si vous voyagez en famille, bonne nouvelle : certaines propriétés pensent à tout ! Pendant que les adultes plongent dans l’univers des grands crus, les enfants peuvent participer à des ateliers ludiques pensés spécialement pour eux. Une excursion gourmande et culturelle qui met tout le monde d’accord.

Brunch à Bordeaux : le guide ultime pour les amateurs de saveurs

#3 Lacanau près de Bordeaux : baignade et détente entre océan et lac

À moins d’une heure de la ville de Bordeaux, Lacanau est une destination de choix pour s’évader le temps d’une journée ou d’un week-end. Nichée entre forêt de pins et rivages, cette station du Médoc invite à la déconnexion.

 qui longent le lac offrent une agréable promenade, propice à la découverte de la faune et de la flore locales. À la belle saison, Lacanau se transforme en véritable paradis pour les amateurs de 

 s'étendent le long du littoral. Certaines sont animées, bordées de restaurants et de clubs pour enfants, parfaites pour les familles. D’autres, plus sauvages, permettent de profiter d’une mer vivifiante dans un cadre plus tranquille. Entouré de nature, le lac de Lacanau accueille aussi les visiteurs en quête de calme. Vous pourrez y pratiquer le 

, ou tout simplement poser votre serviette sur l’une des plages aménagées pour une baignade paisible en eau douce.

Le Parc naturel régional des Landes de Gascogne : immersion au cœur d’une nature préservée

Envie de couper avec le rythme effréné de la ville ? Direction le 

Parc naturel régional des Landes de Gascogne

, à cheval entre la Gironde et les Landes ! Sur plus de 

 de paysages boisés, de zones humides et de rivières sinueuses, ce territoire préservé se visite 

, dans le respect, bien sûr, de son écosystème fragile.

, surnommée « la petite Amazone » pour son atmosphère sauvage et ses méandres ombragés. Côté randonnées, les passionnés peuvent s’élancer sur de

, parfois thématiques, à la découverte de la faune locale et des paysages typiques de la forêt landaise. Le parc abrite également un projet culturel unique : la 

, un itinéraire insolite où une trentaine d’œuvres monumentales sont disséminées en pleine nature. Une manière originale de mêler art, balade et découverte.

#5 Biscarrosse : entre vagues, lacs et forêts de pins

Le bonheur des vagues ! À un peu plus d’une heure de route de la ville de Bordeaux, Biscarrosse s’impose comme l’une des destinations balnéaires les plus appréciées des Landes. Des kilomètres de sable fin s’étendent à perte de vue, ponctués de dunes sauvages. Réputée pour ses 

, la station attire novices et surfeurs aguerris. Plusieurs écoles proposent d’ailleurs des cours tout au long de la saison.

 offre une échappée belle où calme et nature s'entrelacent à merveille. Entouré de nature, c’est le spot rêvé pour nager en eau douce, pratiquer la voile ou le paddle, ou se détendre sous les pins. De nombreuses 

 sont également aménagées. Les amoureux de vélo ne sont pas en reste : un réseau étendu de 

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